Le viager c’est simple, et c’est chouette ! We Act vous explique pourquoi !

Vous entendez parler du viager en ce moment, qui rencontre un regain d’intérêt auprès des investisseurs.

Pourtant auprès du grand public, les préjugés ont la vie dure, et certains professionnels délaissent ce type de montage !

L’Equipe We Act accompagne les conseillers immobiliers pour les compromis de vente en viager,

 

Aussi, faisons le point sur quelques réflexions qui reviennent souvent :

Le viager, c’est glauque, c’est parier sur la mort d’une personne

Le mécanisme du viager repose effectivement sur une notion temps, qui est celle de la VIE et non de la mort du propriétaire !

Le choix de recourir au viager, pour un propriétaire, résulte souvent d’une volonté de maîtriser son budget et préparer sereinement sa fin de vie.

En réalité, vous apportez donc de la sérénité au propriétaire : en plus d’un capital non négligeable (le bouquet), vous lui garantissez une rente sa vie durant, lui permettant de subvenir à ses besoins alimentaires et médicaux, que ses enfants ne pourraient peut-être pas assurer.

De plus, vous évitez bien des déboires successoraux à la famille, après son décès : en effet, le bien revient automatiquement dans le patrimoine du débirentier, sans formalité successorale à établir.

 

Le viager, c’est quitte ou double

Bien évidemment, le principe du viager est de ne pas savoir quand il se dénouera, et cela peut être inquiétant.

L’exemple le plus célèbre : Jeanne Calment, à l’âge de 90 ans, avait vendu sa maison en viager… à un notaire 😊 (de 47 ans) … lequel est décédé avant elle ! Finalement, la maison a été payée plus de deux fois sa valeur !

Pour autant, le prix de vente est fixé en tenant compte de l’âge du propriétaire, son espérance de vie selon un barème, et le bien est évalué selon sa valeur vénale (prix de marché).

Reste à se mettre d’accord sur le bouquet (le capital versé à la vente) et le montant de la rente.

Rien n’empêche donc de payer le juste prix, ou de faire une bonne affaire !

 

Le viager, c’est forcément occupé

Le propriétaire peut décider de rester vivre dans son logement, certes, mais pour des raisons diverses (médicales, de confort de vie), il peut aussi être amené à quitter le logement, voire même le louer.

Les modalités de ce changement sont anticipées dans le compromis et confirmées dans l’acte de vente signé chez le notaire : en effet le montant de la rente peut varier selon le cas.

 

Conclusion : si vous avez un doute, n’hésitez pas à contacter votre #notaire sur le montage juridique et votre conseiller immobilier pour vous trouver la perle rare.

Quant au propriétaire, il n’y a qu’à regarder notre photo : oui, au vu des statistiques d’espérance de vie, votre crédirentière sera probablement une femme 😉.